Selon madame Oulimata Sow coordonnatrice du Cedaf de Koussanar, la formation de 15 femmes victimes de maltraitance est d’une importance capitale. Elle va faciliter leur autonomisation pour une insertion complète. Car plusieurs d’entre elles continuent de souffrir en silence.
La directrice rappelle que le centre de Koussanar est un véritable cadre d’épanouissement où les femmes peuvent, entre autres, renforcer leurs capacités et bénéficier du concours d’experts ou de conseillers, pour mieux faire face aux violences dont elles sont victimes.
Elle signale que la détection des 15 femmes bénéficiaires de formation n’a pas du tout été facile.
« Je me suis rabattu sur les « Badiénou Gox », des tribunaux de Tamba, de la maison de la justice. Les cas répertoriés ont été envoyé à la direction nationale. C’est ainsi que l’Onu femme a procédé à la sélection de ces femmes bénéficiaires.
Elle soutient que la violence économique dont ces femmes ont été victimes, est une des conséquences de la violence physique.
Le nouveau bureau ouvert dans cette structure de Koussanar est équipé et pourrait permettre aux femmes de se détendre, d’être accompagnées, etc.
echoriental.com
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