Les envoyés spéciaux des médias ont vécu un véritable calvaire durant le Magal-2018. Éparpillés dans différents endroits très distants les uns des autres, ils ont assuré la couverture de l’événement dans des conditions difficiles. Souvent extrêmes.
Certains ont vécu dans la promiscuité, à huit ou dix dans des chambres, sans eau ni électricité courantes. Les plus malheureux étaient logés au quatrième ou au cinquième étage d’immeubles qu’il fallait arpenter plusieurs fois dans la journée.
Si certains efforts indéniables du comité d’organisation en matière de prise en charge des journalistes sont à saluer, les errements notés cette année sont à déplorer. D’autant que le budget affecté au poste « Hébergement des professionnels des médias » est estimé à des centaines de millions de francs Cfa.
seneweb
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